Guang Ming ISMC

Les Questions des patients

Les différentes étapes d'une première consultation sont assez similaires à celle de la Médecine Orthodoxe. Le praticien note d'abord les renseignements généraux et prend connaissance de l'anamnèse. Il s'informe de la raison de la consultation, s'enquiert du diagnostic éventuel en Médecine Orthodoxe et prend connaissance du dossier médical. Le cas échéant, le patient est invité à visiter son généraliste ou spécialiste, en vue de pouvoir communiquer les informations requises (uniquement dans le cas où la consultation est motivée par des plaintes précises ; non appliqué pour des demandes concernant le bien-être général).

 

L'examen de la médecine chinoise englobe quatre étapes spécifiques : l'observation, l'écoute, la palpation, l'interrogatoire. L'observation comprend l'examen visuel du corps dans sa généralité, de certaines parties du corps relatées à la plainte, des excrétions (rare) et de la langue, qui font souvent l'objet de prises de vues digitale pour référence ultérieure. L'écoute englobe aussi l’audition et l'olfaction (par exemple on écoute le bruit de la respiration, on définit la présence d'odeurs particulières, etc.). La palpation comprend la palpation corporelle, la palpation abdominale et la prise du pouls. Dans certains cas, elle sera complétée d'un examen de la résistance électrique d'un certain nombre de points réflexes sur le pavillon de l'oreille. Finalement, à travers un questionnaire extrêmement complet, le praticien s'enquiert de tous les éléments directement ou indirectement liés à la plainte, y compris tous les facteurs externes, les habitudes de vie, le contexte familial et professionnel, etc.

 

Il est important qu'une personne qui visite pour la première fois son praticien de médecine chinoise, se soit livré à l'observation de quelques manifestations sur lesquelles il sera sans doute interrogé, comme par exemple les habitudes alimentaires, la digestion, les selles, la miction; chez les femmes tous les aspects liés aux règles, etc.

Ayant récolté toutes ces informations, le praticien en tirera les conclusions, qui formeront la base de son intervention. Ces différents aspects sont expliqués en un langage clair et quand possible, assortis d'un commentaire sur les attentes quant aux possibilités et aux délais de l'amélioration espérée.

 

Puis suivant le cas, un premier traitement est donné : le plus souvent un traitement d'acupuncture (corporelle, auriculaire, électrinque, moxibustion, ventouses, etc.). Quand possible, une amélioration immédiate est recherchée. Le praticien invite son patient à se coucher sur la table de traitement et il lui demande de découvrir les parties du corps devant être accessibles. Il est assez rare qu'un patient doive se déshabiller entièrement. Puis il insère aiguille par aiguille en quelques points sélectionnés (en moyenne 3 à 10), veillant bien à convenablement aseptiser le lieu de piqûre. Dans tous les cas il est fait usage d'aiguilles stériles à usage unique.

 

Lors de l'insertion de l'aiguille, celle-ci est légèrement manipulée, afin de produire la sensation d'aiguille spécifique, qui varie suivant la personne, le point traité et la force de la manipulation. Généralement le patient ne sent quasiment rien de l'insertion, mais constate la présence d'un élancement électrique, d'un gonflement, d'une lourdeur ou d'un engourdissement pendant la manipulation de l'aiguille. Ce sont des effets recherchés par l'acupuncteur, car ils garantissent l'effet du traitement. Certains patients peuvent expérimenter certaines réactions comme douloureuses. Les aiguilles sont laissées en place pendant une durée variant de 10 à 30 minutes ou plus, suivant nécessité, puis enlevées. Les lieux d'insertion sont à nouveau désinfectés. Il peut arriver qu'il se forme une goutte de sang à l'endroit de la piqûre. Parfois il peut y avoir une petite ecchymose.

 

Le praticien s'informera du bien-être de la personne traitée, avant de prendre congé. À cette occasion un nouveau rendez-vous est pris en fonction du calendrier d'intervention proposé : celui-ci peut varier d'un à plusieurs traitements par semaine. Pendant les séances suivantes, le même traitement ou adapté sera effectuée. Une répétition suffisante est nécessaire. Après une série de 5 ou 10 traitements, une évaluation du progrès enregistré est assurée. Notons qu'une première visite peut durer de 60 à 90 minutes, les visites suivantes variant entre 15 à 60 minutes.

 

Quand il s'agit de massage/tuina la personne est invitée à s'asseoir ou à se coucher après la première phase de l'examen, identique à celle de l'acupuncture. Ce type de massage se donne généralement à travers un tissu qui est placé au-dessus des vêtements. Cela empêche que le patient ne prenne froid pendant le massage et assure en même temps une discrétion de bon aloi. En général il n'est donc pas nécessaire de se déshabiller. Une séance de tuina peut être générale ou dirigée sur une ou plusieurs parties du corps. Dans tous les cas, quelle que soit la demande, un traitement de tuina offre toujours une sensation de bien-être physique et moral extraordinaire. C'est pour cela qu'il est tant apprécié. Un traitement courant dure de 20 à 60 minutes.

 

Dans le cas de la phytothérapie, le praticien prépare une ordonnance, reprenant la formule d'herbes requise, le mode de préparation et d'administration. Le consultant pourra commander les herbes lui-même, mais habituellement la commande sera transmise par le praticien à la société d'herbes. Il est fortement déconseillé d'acquérir les herbes à des sources "sauvages", ce qui peut mettre en cause l'effet de l'intervention ou même la santé. Pour cela, le praticien insistera pour que les herbes soient acquises auprès d'un laboratoire spécialisé, donnant tous les garanties de qualité et de sécurité, suivant les normes définies par le Centre et par Guang Ming ISMC (voir plus bas).

 

Une consultation en diététique se compose de l'examen préliminaire, permettant de définir une stratégie diététique. À la suite de cela, le conseiller en diététique prépare un dossier diététique individuel, composé d'une description générale de la stratégie alimentaire à suivre, de listes d'aliments conseillés et déconseillés, de modèles de régime quotidiens, ainsi que d'un nombre de recettes de plats diététiques. L'ensemble est toujours équilibré, simple et ... délicieux, afin de combiner l'utile et l'agréable. Le cas échéant ce dossier est présenté et commenté lors d'une deuxième visite. Les rencontres ultérieures sont relativement espacées dans le temps, les effets d'un traitement diététique étant plus lents que ceux des autres interventions. Les aliments spéciaux peuvent être acquis dans un magasin alimentaire chinois ou auprès d'un des laboratoires spécialisés, communiqués par votre praticien.

 

La fréquence habituelle des traitements en occident est d’un par semaine. Mais suivant le cas, cela peut être porté à deux ou trois.

Souvent, quand les premiers résultats ont été atteints, la fréquence est portée à un traitement tous les deux ou trois semaines.

Le nombre des traitements est établi par séries de cinq, une évaluation des résultats étant faite après chaque série.

Le nombre de traitements nécessaires est aussi variable que les cas que nous traitons. La règle est que plus le cas est récent et léger, plus l’effet est rapide. En principe les problèmes chroniques exigent des traitements plus longs. Mais là, c’est encore variable. Dans tous les cas le but du traitement est d’obtenir le plus rapidement l’effet thérapeutique recherché.

Constatons que la motivation et la persistance du patient est un élément important. Il faut aussi savoir que notre approche est pragmatique et réaliste. Si vous voyons qu’une amélioration tarde à venir, nous pouvons proposer d’arrêter le traitement. Il arrive cependant qu’un amélioration très lente est attendue et dans ce cas nous conseillons la patience. La confiance mutuelle est un élément important dans la gestion de problèmes difficiles, récalcitrants et très chroniques

La Médecine Chinoise est basée sur une conception holistique et énergétique de l'univers et de l'homme. Elle considère que l'être humain vit en relation et en échange continuels avec son environnement et qu'il forme un ensemble unique, dont toutes les parties et fonctions sont indissociables. Elle a établi que toutes les fonctions vitales sont assurées par un système énergétique, qui est le moteur premier de tous ses systèmes circulatoires, nerveux, hormonaux, organiques, tissulaires, mentaux, etc. Dans cette conception énergétique la santé est représentée par son fonctionnement harmonieux, la maladie ou le mal-être se traduisant pas la dysfonction de ce système. Il en résulte que les interventions thérapeutiques portent sur le rétablissement de l'harmonie première, ce qui se concrétise par la normalisation des fonctions perturbées et le retour à l'état de santé.

 

Comme chaque être est différent et que la Médecine Chinoise le saisit dans son individualité et son unicité, telle qu'elle s'est développée à travers son hérédité et son développement d'une part et ses relations multiples et continuelles avec le monde extérieur d'autre part, tout trouble ou maladie n'est jamais considéré comme une entité indépendante et objective, qu'il faut éradiquer, mais comme la manifestation unique et complexe de la dysharmonie d'un être unique et complexe. C'est en même temps sa grandeur et sa difficulté, car dans un tel contexte il ne reste qu'une place limitée pour des approches statistiques objectivées, comme elles sont développées dans la Médecine Orthodoxe. Mais il n'en reste pas moins que grâce à l'accumulation une expérience plusieurs fois millénaires et au développement d'un système et d'une méthode scientifique qui lui sont propres, la Médecine Chinoise occupe aujourd'hui une place importante en tant que deuxième médecine planétaire, officiellement reconnue et pratiquée dans de nombreux pays du monde.

 

Signalons qu'en Chine c'est une médecine officiellement reconnue par l'état, bien organisée, remboursée par la sécurité sociale et réglementée par un Secrétariat d'État à la Médecine Chinoise. Il y a actuellement en Chine d'innombrables universités, d'hôpitaux, polycliniques, médecins, pharmaciens, infirmières et administratifs, tout comme une importante industrie pharmaceutique et médicale, qui se consacrent uniquement à la pratique, à la recherche et au développement de la Médecine Chinoise.

 

La médecine Chinoise comporte plusieurs techniques thérapeutiques spécifiques : la phytothérapie, l'acupuncture, le massage (tuina), la diététique, le qigong et le taijiquan. Nous les présentons ci-dessous de façon élémentaire.

 

L'acupuncture

 

Elle agit directement sur la circulation énergétique du corps humain par la stimulation de certains points névralgiques. Elle comporte plusieurs sous-techniques spécifiques, comme l'acupuncture corporelle (insertion de fines aiguilles dans certains points du corps), l'acupuncture auriculaire (stimulation par aiguille de points sur le pavillon de l'oreille), la moxibustion (échauffement de certains points au moyen d'armoise brûlante) , les ventouses (succion par vide sur certains endroits du corps), l'électro-acupuncture (qui stimule les aiguilles insérées dans le corps ou dans l'oreille par un faible courant électrique), etc.

 

La phytothérapie

 

Elle se distingue par une conception énergétique de la matière médicale. Elle met celle-ci en œuvre pour corriger les énergies perturbées du corps. À travers plus de 5000 ans de recherche et d'expérience, il s'est créé un système de soins au plantes, qui allie efficacité, fiabilité et sécurité. Son approche est de plus en plus confirmée par la recherche scientifique. En Chine, c'est la discipline la plus importante de la Médecine Chinoise, car elle est pratiquée par 80% de ses médecins. Il y a 500 plantes référencées dans la Pharmacopée Officielle de l'Etat chinois. La matière médicale complète (qui est composée de produits végétaux, animaux et minéraux), comporte plus de 6.700 produits médicinaux différents. 

 

Le tuina

 

Il met en œuvre une palette riche et complexe de techniques de massage, d'étirements, de manipulations, etc. ce qui lui permet de soigner en douceur de nombreux troubles externes et internes. En Europe, cette technique est encore largement inconnue, notamment par l'absence de praticiens expérimentés. Elle offre cependant une large palette de possibilités d'intervention, qui peuvent heureusement remplacer les aiguilles chez les patients qui ne supportent pas les piqûres. Elle a quelques points communs avec le shiatsu, la digitoponcture, le massage méridien, la physiothérapie, l'ostéopathie et la chiropraxie. Elle s'en distingue par son appartenance à la médecine chinoise, dont elle utilise toute la richesse théorique et diagnostique et par la multiplicité de ses techniques, à laquelle elle doit son efficacité et son succès.

 

La diététique

 

Par une sélection minutieuse des aliments et des techniques de cuisine, elle permet d'optimiser la santé ou de contribuer à la guérison de nombreux troubles. Il s'agit d'une approche non réductive qui permet de se nourrir sainement et délicieusement. Elle trouve sa place dans la prévention de la maladie, dans le traitement et dans la convalescence. 

 

Le qigong et le taijiquan

 

Ce sont deux techniques d'exercices physiques et respiratoires qui favorisent la circulation de l'énergie, assurant ainsi le maintien de la santé ou la récupération de nombreuses maladies. Le premier est plus directif au point de vue de l'approche thérapeutique, le second appartenant plus à la gymnastique de santé. Dans le qigong il faut d'ailleurs distinguer deux approches spécifiques et complémentaires : d'une part il y a le qigong qui est appliqué par le praticien au patient, combiné ou non avec le tuina; d'autre part il y a les exercices thérapeutiques de qigong que doit pratiquer le patient lui-même pour améliorer sa santé. Ces techniques lui sont enseignées par un professeur et varient suivant les problèmes à traiter. 

 

Au sein du Centre de Médecine Chinoise à Morges nous pratiquons les quatre premières disciplines. Quant à la dernière, nous conseillons des thérapeutes spécialisés quand nécessaire.

La Médecine Chinoise est une médecine très complète, officielle et hospitalière dans de nombreux pays et principalement en Chine. Elle est appelée tout naturellement à collaborer avec la Médecine Orthodoxe.

 

Tout d'abord, les médecins en Médecine Chinoise reçoivent un enseignement en médecine scientifique, ce qui leur permet une collaboration efficace avec la Médecine Orthodoxe, le recours à ses moyens d'investigation les plus avancés (analyses, imagerie, etc.), le renvoi aux spécialités quand l'indication l'exige, la collaboration et l'intégration des soins des deux médecines, chaque fois que cela représente un plus pour le patient. 

 

Que cela signifie-t-il dans la pratique?

 

Au point de vue de l'efficacité thérapeutique, il y a un nombre d'indications qui sont mieux traitées par la médecine orthodoxe ; il y a un nombre d'indications qui sont mieux traitées par la médecine chinoise; il y a un nombre d'indications qui sont traitées également par les deux médecines; il y a un nombre d'indications où la combinaison des deux médecines est souhaitable ou indispensable.

 

Au point de vue du bien-être et de la protection du patient, la pratique de la Médecine Chinoise en Occident est appelée à se développer en complémentarité et en collaboration avec la Médecine Orthodoxe. Cependant comme la médecine chinoise est considérée comme une médecine complémentaire en occident et qu’elle n’est pas enseignée en faculté comme en Chine, les indications de la médecine chinoise sont réduites par rapport à son potentiel clinique réel. La collaboration directe entre praticiens de la médecine scientifique et chinoise est encore relativement réduite.

Étant donné "l'action régulatrice" de l'acupuncture, il est difficile de stipuler des contre-indications absolues à cette forme de thérapie. Cependant, pour des raisons de sécurité, sa pratique doit être évitée dans les conditions et affections suivantes.

 

Grossesse

L'acupuncture peut provoquer l'accouchement et doit donc être pratiquée avec prudence pendant la grossesse.  Le simple fait de faire pénétrer une aiguille par un certain mode de manipulation et en certains points peut déclencher des contractions utérines et provoquer une fausse-couche. Cependant, l’acupuncture est un traitement de choix pour de nombreux inconforts et symptômes pendant la grossesse, quand le recours aux médicaments est interdit.

L’acupuncture peut aussi être utile pour provoquer l'accouchement ou en réduire la durée et la durée éventuelle.

Traditionnellement, l'acupuncture et la moxibustion sont contre-indiquées s’ils concernent des points situés sur le bas ventre et la région lombo-sacrée pendant les trois premiers mois. Après le troisième mois, les points situés sur l'abdomen supérieur et la région lombo-sacrée, et ceux provoquant de fortes sensations doivent être évités ainsi que les points auriculaires qui peuvent provoquer l'accouchement.

Un paticien bien formé et expérimenté peut traiter des femmes enceintes pendant toute leur grossesse.

 

Urgences médicales et chirurgicales 

L'acupuncture est contre-indiquée pour le traitement des urgences. Dans ce cas, les premiers secours doivent être dispensés et le patient transporté dans un centre d'urgences médicales. L'acupuncture ne doit pas être utilisée en remplacement d'une intervention chirurgicale nécessaire.

 

Tumeurs malignes 

L'acupuncture ne doit pas être utilisée pour traiter les tumeurs malignes. Plus particulièrement, la pose d'aiguilles au site d'une tumeur doit être interdit. Cependant, l'acupuncture peut être employée comme mesure complémentaire, associée à d'autres traitements, pour soulager la douleur ou d'autres symptômes, les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie, et ainsi améliorer la qualité de vie.

 

Troubles hémostatiques 

L'utilisation d'aiguilles doit être prudente évitée dans certains cas chez les patients présentant des problèmes de saignement et de coagulation ou ceux qui suivent un traitement anticoagulant ou qui prennent des médicaments qui ont un effet anticoagulant. Dans la pratique l’expérience démontre qu’il y a très rarement des problèmes à ce niveau. L’acupuncteur tiendra en tous les cas compte de cet aspect.

 

Les effets secondaires de l’acupuncture

 

Des effets secondaires significatifs en acupuncture sont rarement mentionnés. C’est en tout cas incomparable avec les nombreux effets secondaires documentés pour de nombreux médicaments. Il peut néanmoins y avoir quelques petits inconforts après le traitement :

Une légère douleur sur les sites d’insertion des aiguilles pendant 2-3 jours.

Un petit hématome sur les sites d’insertion.

Une sensation de somnolence, de fatigue ou d’hyper-relaxation après le traitement.

Une péjoration temporaire des symptômes préexistants, principalement dans le cas des traitements de douleurs articulaires.

Des cures aux herbes médicinales chinoises peuvent être un facteur significatif dans le maintien ou le recouvrement de la santé. Or les "simples", tout naturels qu'ils sont, ne sont jamais anodins et peuvent toujours représenter un danger potentiel, soit en automédication, soit quand ils sont prescrits par des praticiens non qualifiés, soit quand ils sont mis sur le marché et distribués par des canaux marginaux. 

 

Pour cela Guang Ming CMC pose des exigences sévères en cette matière : 

 

Au point de vue de la provenance : Les produits doivent être importés et distribués par des canaux officiels et contrôlés, qui garantissent toute sécurité en matière d'identité, de pureté, de fraîcheur, de manipulation, d'administration, de pharmacovigilance, etc., l'ensemble en conformité avec les lois et règlements en vigueur.

 

Au point de vue du conseil : les produits doivent être conseillés en des dosages, des combinaisons, des méthodes de préparation et de prise qui sont conformes aux règles définies par la pharmacologie et la médecine chinoise, telles qu'elles sont enseignées dans les universités et publiées dans les Pharmacopées officielles concernées. Les produits doivent être également conseillés en connaissance de cause des lois et réglementations nationales et internationales en vigueur. Les produits ne peuvent être conseillés que par des praticiens détenteurs des diplômes idoines en la matière.